Slip chair by Snarkitecture


Slip chair by Snarkitecture:

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le studio de design new-yorkais snarkitecture vient de présenter slip chair, une chaise qui donne l’impression qu’elle est inutilisable, conçue pour l’entreprise portugaise UVA cette chaise ne semble pas être un bon endroit pour s’asseoir. cependant, sa pierre conique taillée avec précision. L’illusion de l’inclinaison ici est juste autre blague, c’est complètement stable., vous ne glisserez pas, vous pouvez certainement vous asseoir dessus très bien.

KOURSI.

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Baby Blue Chair by Paul Venaille


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A été présentée à la Cité de la Mode et du Design à l’occasion du Paris Design Week 2013 entre le 9 et le 15 septembre: La chaise Baby Blue est la création du designer Français Paul Venaille, après deux années en école d’architecture Paul Venaille a fait le choix de s’orienter vers une formation en ébénisterie. Ce changement d’orientation a été guidé par l’échelle de création,  La proximité entre l’homme et le meuble, leur corrélation le touchant d’avantage. Il a donc suivi un apprentissage de deux années auprès des compagnons puis préparé et obtenu le diplôme des métiers d’art en ébénisterie en Juin 2012.

La Baby Blue est constituée d’une coque en contreplaqué et d’un piétement en chêne massif. La coque de l’assise est fabriquée à partir de trois fines bandes de contreplaqué collées les unes aux autres et croisées, le tout replaqué en chêne. Le dossier est laqué. Le piétement en trépied offre une grande stabilité, il se détache de la coque donnant à l’ensemble une sensation de flottement et de légèreté.

KOURSI

Andrée Putman: une vie en noir et blanc


Andrée Putman: une vie en noir et blanc.I-Grande-22461-andree-putman-ambassadrice-du-style.net
Atypique, égratignée par la vie, celle qui se définissait comme le «mouton noir des moutons noirs» a donné une nouvelle dimension à la décoration. Elle est décédée samedi matin à l’âge de 87 ans.
Designer française de renom, Andrée Putman, qui est décédée samedi à Paris à l’âge de 87 ans, a signé de son style épuré et élégant des hôtels, restaurants et boutiques chics, mais aussi des bureaux de ministres et des objets de la vie de tous les jours. Avec beaucoup de rigueur, de classe et un soupçon de fantaisie : la « grande dame du design » aimait à se définir comme une « touche-à-tout », une « exploratrice » toujours en quête de « nouveaux territoires ». Son style ? Viser l’intemporel. La créatrice se plaisait à mêler les époques, les matériaux. Avec deux éléments essentiels pour elle : la lumière et l’espace. Noir, blanc, beige, gris, parfois un bleu Klein : la palette de couleurs était sobre.

Elle a aménagé l’intérieur du Concorde, signé l’architecture intérieure d’hôtels prestigieux, de musées, travaillé avec les plus grands noms de la couture, édité un mobilier réduit à l’essentiel et réédité des pièces de créateurs des années 1920-30 tels Jean-Michel Franck, Mallet-Stevens ou Eileen Gray, devenues aujourd’hui des icônes, créé des bijoux pour Christofle…Mais Andrée Putman n’était pas pour autant un touche-à-tout de génie. C’était une allure, un style, rigoureux et dépouillé, une culture et une certaine idée de l’élégance. Sa voix un peu rauque, grillée par les gitanes, s’est éteinte ce matin. La grande dame du design avait 87 ans.

Issue d’une famille recomposée de grands intellectuels bourgeois, elle se considérait comme «le mouton noir de moutons noirs». Atypique, égratignée par la vie mais aussi lumineuse. Ce qui la caractérisait? «Sa curiosité, son ouverture d’esprit, son humanisme. Elle se comportait en sociologue», assure Olivia Putman, sa fille. Ce qui lui permit de fréquenter, avec la même aisance, les milieux politiques, artistiques et le Palace dont elle sera l’une des égéries.Andree Putman Salle de bains hotel Morgans

Elle ne dessine pas mais elle capte tout

Dès les années 70-80, André Putman donne une nouvelle dimension à la notion de décoration qu’elle envisage comme une réflexion sur l’espace, le volume, la lumière, à une époque où l’on se contentait d’assortir rideaux, canapés et papiers peints. Elle ne dessine pas, mais elle capte tout. Seuls son intuition, ses yeux grands ouverts sur le monde, sa connaissance des gens la guident. Comme une évidence, elle imposera le blanc, le noir, le gris dans la maison et sortira la salle de bains de son ghetto hygiéniste pour en faire une pièce à vivre à part entière.

Les projets dont elle était la plus fière? Ceux qui émanaient de belles rencontres humaines comme ce fût le cas avec Steeve Rubell, ex propriétaire du Club 54, pour lequel elle relooke l’hôtel Morgans, pour en faire le premier boutique hôtel. «Fière» est un bien grand mot car ses projets préférés étaient toujours ceux à venir, poursuit Olivia Putman. Elle aimait mettre en avant l’artisanat, faire prendre conscience de la beauté intrinsèque de matériaux simples comme le carton ondulé ou le grès ceram.

Source AFPphoto-Putman-500x364

 

KOURSI

TENDO by Naruse Inokuma


Dans une approche typiquement architecturale et structurelle, j’ai aimé cette chaise  Tendo  créée par le cabinet d’architecture japonais Naruse Inokuma. Avec la particularité d’être conçue à partir d’une seule  planche  de bois, découpée puis façonnée à la forme de l’assise, le procédé de fabrication permet, en plus de son esthétisme, de limiter les chutes. Découverte !

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